Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Contact

  • : OGM : environnement, santé et politique
  • : Actualité et faits scientifiques sur les OGM. Postmodernisme en science.
  • Contact

Introduction

Le propriétaire de ce site ne dit pas si les OGM c’est bien ou mal, s’il faut en manger ou pas. Il n'est payé ni par Monsanto, ni par Carrefour, ni par Greenpeace... (lire la suite).    

Ses analyses sur les biotechnologies ont été poursuivies sur le cadre idéologique plus large, celui de la postmodernité.

 

ENGLISH VERSION uk-flag                                                    

 

PAGE D'ACCUEIL -->ret-accueil-s

Rechercher

L'auteur

Marcel Kuntz est biologiste, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l’Université Grenoble-Alpes, ses seules sources de revenus. Ses analyses n'engagent pas ses employeurs.

 

Nouvel ouvrage:

De la déconstruction au wokisme. La science menacée.

Notes pour la Fondapol (téléchargeables)

Glyphosate, le bon grain et l'ivraie

 

Précédent : L'affaire Séralini: l'impasse d'une science militante

Autres ouvragescouv grand public :

OGM, la question politique

 

 

 Les OGM, l'environnement et la santé  

 

Ma page Facebook

Personnalisez votre blog

Aide à la création et à la personnalisation
de votre blog ou site internet :

logo_presencenumerique.gif

12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 10:48

germination 2Aucune des variétés mises sur le marché n’est stérile.

Chacun pourra s’en convaincre en interrogeant les BANQUES DE DONNEES des OGM.

Ce mythe largement propagé provient d’une extrapolation abusive :

un brevet détenu par la société Delta Pine Land et le Ministère de l'Agriculture des Etats-Unis (USDA) décrivant des CONCEPTS pour produire des graines stériles a bien été déposé.

Mais ces concepts (décriés par les opposants aux OGM sous le terme « Terminator ») n’ont pas été développés : la critique portait principalement sur l'utilisation de cette technologie dans les pays en développement où l'achat de semences n'est pas toujours à la portée des agriculteurs.
Le titre du brevet (« Système de Protection Technologique ») atteste bien d'une volonté d'empêcher la propagation des semences. Rien n'étant ni tout blanc, ni tout noir, la technologie pourrait aussi réduire la dissémination involontaire des graines.

Partager cet article
Repost0

commentaires